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RUPTURE – Moulin de Peyronin, Bordeaux Supérieur 2016, 75cl
Harmonie entre boisé et fruité
Ce terroir de coteau prolonge les côtes de Castillon. Le sous-sol calcaire mais aussi la patte du viticulteur Franck Terral donnent une expression fruitée et digeste. Certifié bio depuis 25 ans, le domaine est actuellement en conversion biodynamie.
Pour amateurs de fruits rouges !
8,90€

Château Haura, Graves rouge 2019, 75cl
Subtil, précis, longiligne
Son bouquet est subtil et presque indescriptible tant les notes fruitées et boisées sont fondues. C’est un bel exemple du style « classique et équilibré » que Denis Dubourdieu a défini dans ses propriétés puis proposé dans les crus qu’il a conseillés comme oenologue.
Plus caillouteux que Clos Floridène (autre Graves des Dubourdieu), Haura a aussi plus de Cabernet (50%), gage de fraîcheur et de longueur en bouche. Amateurs de vins ronds, vous préférerez Brulesécailles ou Brio.
Pour amateurs de fraîcheur et de valeurs sûres
12,90€

Château Mille Roses, Haut-Médoc 2016 BIO, 75cl
Droit, équilibré, fougueux
Parmi les atouts de cette propriété du Sud Médoc : un couple de viticulteurs qui a du goût, un terroir caillouteux voisin de Giscours, un nom pas encore trop connu expliquant ce tarif raisonnable. David Faure et sa femme Sophie ont repris, en 1999, les terres familiales qui avaient été mises en fermage au décès des parents Faure. Ils ont réussi à redonner au vin son charme.
Entre la cuvée « Margaux » et la cuvée « Haut-Médoc », c’est cette dernière que nous préférons, car issue de vignes plus vieilles.
Pour amateurs de droiture
18,90€

Clos Floridène, Graves rouge 2016, 75cl
Équilibré, régulier
Le cépage Merlot est ici à l’honneur dans une expression fraîche (graine de cacao) et vive. À Barsac, l’argile est rouge (rappelant la terre battue) et repose sur une roche calcaire. Cela est un gage de fraîcheur. Il y a aussi l’empreinte du regretté Denis Dubourdieu, inlassable défenseur de l’équilibre et de la fraîcheur (versus le style démonstratif apparu au tournant des années 2000).
Pour amateurs d’équilibre
18,90€

RUPTURE
Margaux de Brane, Margaux 2015, 75cl
Léger et soyeux (consensuel)
Parmi les AOC du Médoc, les Margaux sont appréciés pour leur douceur et leur finesse (on parle parfois de vins « féminins »).
Les vignes de Brane Cantenac se situent au cœur du fameux plateau de Cantenac (partagé avec Rauzan Ségla et Margaux). Fort d’un terroir très caillouteux, le Château Brane Cantenac fait rimer « soyeux » et « force ». Il faut d’ailleurs donner une quinzaine d’année à son vin pour que ces deux qualités s’équilibrent !
« Margaux de Brane » place la douceur avant la force : il est gourmand et digeste.
Pour amateurs de souplesse
24,90€

Château Teynac, Saint Julien 2014 BIO, 75cl
Frais, typé Médoc
D’une superficie modeste (12,5 hectares), le domaine est réparti en plusieurs îlots dans le secteur de Beychevelles. Les pieds de vigne sont dans la force de l’âge avec une moyenne de 40 ans.
Moins rond ou velouté que « Brio », ce cru nous a plu pour sa typicité bien Médocaine : cassis, poivre et longue salivation des papilles.
Pour amateurs de classicisme
27,90€

Dame de Couhins, Pessac-Léognan 2016, 75cl
Boisé, tannique
Ce terroir, riche en graves et en oxyde de fer, donne un vin vif et tannique.
On peut le déboucher dès à présent si on aime la fougue et si l’on a un plat en sauce type gigot d’agneau. On peut aussi le placer dans le fond de sa cave car il vieillit lentement mais sûrement !
Pour amateurs de vins tanniques
15,90€

RUPTURE
Château Carbonnieux, Pessac-Léognan 2017, 75cl
Souple, élégant
La situation en haut d’une belle croupe de graves de Léognan, donne à Carbonnieux des allures de vieux domaine seigneurial et surtout une bonne exposition au soleil pour la maturation des raisins. Depuis le millésime 2015, ce cru a pris une texture veloutée élégante tout en conservant son bouquet épicé et légèrement fumé.
Ayant anticipé les accords d’Évian, la famille Perrin quitte Oran en Algérie pour s’établir à Carbonnieux, jusque après le grand gel de 1965. De part sa belle sagesse Anthony Perrin a été une figure du Bordeaux viticole et a transmis à ses deux fils, Eric et Philibert, l’amour de Carbonnieux et de belles valeurs viticoles.
Pour amateurs de souplesse
32,90€

Château Monbrison, Margaux 2017, 75cl
Frais, racé (médocain !)
Voisin de Giscours, Château Monbrison tire de ses vieux pieds de vignes une belle puissance tannique et mérite d’être attendu car il développe, dès 5 à 8 ans, un bouquet raffiné, floral et mentholé. Il en a sous le capot !
Il est géré par une famille bordelaise d’origine américaine.
Pour amateurs de vins élancés
36,90€

Château Chasse-Spleen, Moulis 2016, 75cl
Complet, fidèle au rendez-vous (vers 8 ans !)
On dit qu’il faut 10 à 20 ans pour asseoir la notoriété d’un cru. Chasse-Spleen est un cas unique de bonne gestion continue sur un siècle, depuis 1912 sous l’ère des propriétaires Brêmois jusqu’à aujourd’hui avec la famille Merlaut. Au début des années 1980, la fille de Jacques Merlaut, Bernadette Villard est la première femme à porter haut les couleurs du Médoc, une terre d’hommes. Aujourd’hui sa fille Céline et son mari barrent le navire avec un style de plus en plus féminin.
Ce cru accueille des installations artistiques et est devenu l’un des plus visités du Médoc.
Pour amateurs de valeurs sûres
32,90€

Château Siran, Margaux 2008/2010, 75cl
Frais, tendu, équilibré, complexe
Dans ses millésimes 2008 et 2010, Siran était de facture traditionnelle (vif et tannique). Il a pris, avec ses 8 et 9 ans d’âge, un bouquet riche en notes florales.
Pour amateurs de classicisme
34,90€

Château Sociando-Mallet, Haut Médoc 2018, 75cl
Soyeux, harmonieux
Des robes rubis-pourpres et d’abondants tannins jalonnent les 40 millésimes de Sociando-Mallet produits par Jean Gautreau. Sous son ère, le cru a connu une belle remontée qualitative et quantitative passant de 5 à 83 hectares maintenant.
Ce cru plaît généralement aux amateurs de notes poivrées et toastées.
Pour amateurs de panache
34,95€

Château Sociando-Mallet, Haut Médoc 2012, 75cl
Tannique, poivré, un peu mordant
Des robes rubis-pourpres et d’abondants tannins jalonnent les 40 millésimes de Sociando-Mallet produits par Jean Gautreau. Sous son ère, le cru a connu une belle remontée qualitative et quantitative passant de 5 à 83 hectares maintenant.
Ce cru plaît généralement aux amateurs notes poivrées et toastées.
Pour amateurs de panache
45,90€

Clos de l’Oratoire, Saint-Emilion Grand Cru 2014, 75cl
Rond, boisé, puissant
Bordelais d’origine allemande, Stéphane de Niepperg est autant connu pour son humour que pour le soyeux de ses vins ! Il a beaucoup de goût et sait maintenir de la fraîcheur dans ses vins, ce qui leur confère un bel équilibre.
Pour amateurs de rondeur (tel Rober Parker) mais aussi de classicisme.
44,90€

Échos de Lynch-Bages, Pauillac 2009, 75cl
Épicé, tannique
Le grand vin (Château Lynch-Bages) est apprécié pour son opulence et pour sa capacité à se bonifier au fil des décennies. C’est ce cru que Patrick Baudry avait emporté à bord du premier vol spatial franco-américain !
« Échos de Lynch-Bages », second vin de la propriété, est accessible plus jeune. Dans ce millésime 2009 qui fut très solaire, il se présente, lui aussi, avec « puissance » et « autorité ».
Pour amateurs de vins complets
42,90€

Clos du Marquis, Saint-Julien 2011/2012, 75cl
Un numéro d’équilibriste !
Clos du Marquis est créé en 1902 par le Château Léoville Las Cases sur la partie ouest de son merveilleux terroir. De ses deux cépages d’origine, le Merlot et le Cabernet Sauvignon, c’est bien ce dernier qui, après quelques années prend le dessus. Il livre alors ses notes caractéristiques de cassis, de tabac et de vieille rose. Ce sont ces notes raffinées que nous espérons trouver en ouvrant un Clos du Marquis d’une quinzaine d’années.
Pour amateurs d’harmonie
62,90€

Château La Gaffelière, Saint Émilion 1er grand cru 2014/2015, 75cl
Gourmand, riche
L’arôme gourmand du vin (cacao, musc, cigare) et sa rondeur sont dus à un élevage du vin traditionnel « à la bourguignonne », c’est-à-dire au contact avec ses lies (le vin n’est soutiré que 2 fois au lieu de 4 habituellement). Cette richesse est équilibrée grâce à un terroir « calcaire » apportant une acidité suffisante.
Ce lieu, situé à 500 mètres de Saint Émilion, abritait une léproserie jusqu’au XVème. Les lépreux étaient appelés « gaffets » en raison de leur canne (gaffe) et cela a donné le nom « La Gaffelière » au domaine.
Pour amateurs d’effluves fruitées
57,90€

Château Grand-Puy Lacoste, Pauillac 2011/2012, 75cl
Frais, précis, en retenue
Grand potentiel d’émerveillement ! Dans sa jeunesse, « Grand Puy » intrigue par sa retenue monastique. Il prend, avec le temps, un formidable bouquet de sous-bois avec parfois des notes de violette envoûtantes. On peut le reconnaître à son équilibre millimétrique. Il se veut sans excès car cela serait une faute de goût aux yeux – ou plutôt « aux papilles » – du maître des lieux, François-Xavier Borie !
Le terroir est constitué de graves filtrantes.
Pour amateurs de finesse
57,90€

Château Grand-Puy Lacoste, Pauillac 2010, 75cl
Frais, précis, en retenue
Grand potentiel d’émerveillement ! Dans sa jeunesse, « Grand Puy » intrigue par sa retenue monastique. Il prend, avec le temps, un formidable bouquet de sous-bois avec parfois des notes de violette envoûtantes. On peut le reconnaître à son équilibre millimétrique. Il se veut sans excès car cela serait une faute de goût aux yeux – ou plutôt « aux papilles » – du maître des lieux, François-Xavier Borie !
Le terroir est constitué de graves filtrantes.
Pour amateurs de finesse
89,90€